Bachelor of Science in Computer Science & Engineering (BSc CSE)

DSTI School of Engineering

Chers candidats et futurs étudiants des programmes de DSTI School of Engineering,

Bienvenue dans un monde où l'éducation rencontre l'innovation et la passion pour les sciences des données, l'ingénierie informatique et la cybersécurité. Je suis ravi de vous inviter à explorer notre école de spécialisation, où chaque programme, chaque cours, et chaque initiative sont soigneusement conçus pour vous plonger au cœur des fondamentaux des sciences et des technologies de demain. Etre étudiant à DSTI School of Engineering, c'est une préparation à devenir les pionniers d'un avenir numérique en constante évolution. 
Nos programmes Applied MSc et Bachelor (BSc) ne se contentent pas de répondre aux exigences académiques élevées, ils sont en phase avec les besoins actuels et futurs des applications des sciences des données, de l'ingénierie informatique et de la cybersécurité.
Rejoignez-nous pour une aventure éducative sans pareille, où vos ambitions seront accompagnées, vos compétences affûtées, et votre avenir brillamment dessiné.

Notre engagement envers l'excellence éducative se manifeste par une forte présence internationale, avec plus de 30 nationalités représentées sur nos campus à chaque promotion, et 95 nationalités accueillies dans les cinq dernières années. Cette diversité culturelle enrichit l'expérience d'apprentissage de chacun et renforce notre positionnement en tant qu'école de premier plan dans l'éducation aux données et à l'intelligence artificielle. Ceci est bien sûr rendu possible par des programmes Applied MSc et Bachelor intégralement dispensés en Anglais.

Si le cœur mathématique de l'intelligence artificielle vibre à DSTI, nous accordons autant d'importance à l'ingénierie informatique et à la cybersécurité, domaines clés dans le paysage technologique et économique. Nos partenariats et collaborations avec des entreprises, telles qu'Amazon AWS, Microsoft ou Siemens, et des institutions académiques de premier plan comme l'École Nationale d'Arts et Métiers (ENSAM) et Université Côte d'Azur dans le cadre du programme 3IA Côte d'Azur, garantissent reconnaissance et pertinence de nos programmes.

Chez DSTI School of Engineering, nous offrons bien plus qu'une formation : nous préparons nos étudiants à construire les bases scientifiques et technologiques garantissant des carrières pérennes dans les domaines de la science et de l'ingénierie des données pour l'IA, de l'informatique et de la cybersécurité. Notre approche pédagogique est axée sur l'application pratique des connaissances théoriques solides, assurant ainsi que nos étudiants soient prêts à relever les défis du monde réel dès leur sortie de l'école. Ces applications se déroulent à la fois durant l'enseignement, et bien sûr, au travers des phases d'insertion professionnelle, en stage ou en alternance.

Rappelons aussi que nos programmes sont disponibles dans un mix d'une richesse inégalée de modes et rythmes d'études, permettant à la fois des étudiants postbac ou de 1er cycle, mais des professionnels, dans l'emploi ou en reconfiguration de carrière, de suivre les mêmes enseignements délivrant les mêmes diplômes : rentrées d'Automne et de Printemps, On-Campus, Online, rythme traditionnel, en alternance ou asynchrone (Self-Paced): DSTI propose une solution d'études permettant à tous d'étudier et réussir au regard de sa situation personnelle.

La réussite de nos diplômés est un témoignage de la qualité de notre enseignement, avec un taux d'employabilité avoisinant les 100% dans l'ensemble des secteurs économiques, puisque tous recherchent des talents sur nos disciplines. Ceci reflète non seulement l'excellence de notre enseignement, mais aussi l'adéquation de nos programmes avec les exigences du marché du travail.

Nous sommes fiers de notre contribution à la formation des futurs professionnels des sciences des données, de l'ingénierie informatique et de la cybersécurité. Chez DSTI School of Engineering, nous cultivons la passion pour l'éducation dans un accompagnement individuel et bienveillant, toujours inscrit dans l'exigence et la poursuite de l'excellence.

Quelques mots sur le programme

Vous envisagez d'étudier l'informatique, et naturellement, vous et votre famille vous posez de nombreuses questions.

Probablement pas celle de l'emploi, mais rappelons-le quand même : le très grand ensemble des métiers de l'informatique est une filière historiquement sans chômage, avec des perspectives de carrières riches et d'excellents niveaux de rémunération. Soulignons aussi que le monde entier manque d'informaticiens. Donc, sur l'angle de l'emploi, vous êtes en train de faire un excellent choix.

Attardons-nous maintenant sur les disciplines de l'informatique, car elles ne sont souvent pas bien décrites et, comme toujours, l'histoire et la culture comptent.

Le mot « informatique », contraction d'information automatique, utilisé en Français depuis les années 60, symbolise une certaine vision de la discipline, qui utilise donc des équipements appelés « ordinateurs », objets qui « ordonnent », mettent en « ordre » l'information. Dans le monde anglo-saxon, on parle généralement de « computer science », science du calcul, où l'on utilise un « computer », littéralement un « calculateur ». Pour être juste et précis avec nos amis anglophones s'y ajoute le terme de « computer engineering », que l'on doit traduire non littéralement par « ingénierie informatique », par opposition à l'ingénierie des ordinateurs, qu'est la microélectronique.

Il y a donc bien, comme dans de nombreuses disciplines, deux grandes branches : l'algorithmie, la science du calcul, fille des mathématiques appliquées, et l'ingénierie informatique, ensemble des méthodologies, méthodes et savoir-faire pour concevoir des logiciels, l'implémentation de l'algorithmie.

Cette analyse est capitale dans votre choix d'orientation, même si les frontières entre les sciences et l'ingénierie sont poreuses. Elles ne sont d'ailleurs pas des frontières, mais des mains tendues de collaboration.

Les mots ayant un sens, les choix de la pratique Française historique relèvent d'une préoccupation : celle de la digitalisation des systèmes d'information, en utilisant donc des ordinateurs numériques. L'activité humaine crée de facto des systèmes d'information : dès notre plus jeune âge, nous apprenons tous à ranger nos données, en trouver des structures permettant des méthodes d'accès à celles-ci pour nous informer et construire notre connaissance. Une fiche de révision, un livre, un cahier de tenu de caisse, un registre de présence, forment, par exemple, des composants de systèmes d'information. Un informaticien, au sens français, a pour rôle de répliquer et optimiser ceci dans des logiciels s'exécutant dans des ordinateurs.

Aujourd'hui, même dans les systèmes d'information gigantesques qu'ont construits les banques, les télécoms ou les opérateurs de transports (pour ne citer que les usual suspects), on peut constater que très peu de leurs composants requièrent des compétences mathématiques dépassant un bon élève de Terminale. Concrètement, pour un opérateur de télécoms, produire justement plusieurs dizaines de millions de factures mensuellement n'est pas un challenge de mathématiques, puisqu'il s'agit d'une série d'opérations arithmétiques de niveau collège. L'immense difficulté est dans l'ingénierie du système, dans les milliers, voire des dizaines de milliers de paramètres nécessaires à prendre en compte chaque mois, dans une échelle d'un pays, à minima, pour que chaque client puisse recevoir une facture juste.

Vous pouvez répliquer ceci à Netflix ou TikTok, qui utilisent des algorithmes de compression audio et vidéo « du marché », mais doivent être capables de servir leurs clients et utilisateurs à l'échelle planétaire.

Les « computer scientists », si l'on en prend la stricte signification, se concentrent donc sur la conception algorithmique, telles que « comment puis-je réduire d'un facteur de quatre la taille de stockage d'une image sans en dégrader visiblement la qualité à l'œil humain ? », « comment puis-je trouver le plus court chemin sur un réseau pour transmettre des données entre deux ordinateurs ? » ou « comment puis-je concevoir un algorithme de recherche ou tri d'un immense jeu de données pour l'exécuter sur une flotte d'ordinateurs, en réseau ? ».

Deux branches d'activités indispensables, donc. Et on y voit bien aussi un phénomène connu dans tous les couples science/ingénierie plus anciens (ex. mécanique, électrique, radio, électronique) : l'activité humaine a besoin de beaucoup plus de techniciens et d'ingénieurs que de scientifiques. On admet communément un facteur de trois ou quatre à chaque passage. Lorsque l'on conçoit puis produit une nouvelle voiture, il y a probablement entre 3 à 4 fois plus d'ingénieurs que de scientifiques, et 3 à 4 fois plus de techniciens que d'ingénieurs.

Attention, ne voyez pas dans mes mots le procès des mathématiques, alors que DSTI est une École qui vit et respire de ceux-ci. Mais voyez-y une simple analyse des besoins, au regard d'un emploi et des carrières associées. L'esprit scientifique, les méthodes et outils fondamentaux des « mathématiques de l'ingénieur », les probabilités et les statistiques sont essentiels à la formation d'un bon informaticien.

Toutes ces illustrations amènent alors à une dernière et fondamentale question : comment souhaitez-vous donc aborder votre formation en informatique ?

En France, la voie de la « Computer Science » passe nominalement par les classes préparatoires et une école d'ingénieur, qui, malgré l'histoire française de l'informatique, se positionnent essentiellement sur la science du calcul. Et si vous êtes vraiment profondément attiré par celle-ci, la voie universitaire, pour aller jusqu'au doctorat et métiers de la recherche, sera probablement la bonne.

Si vous vous sentez plutôt dans un esprit de « fabrication », la voie de l'ingénierie informatique sera la vôtre. En France, le meilleur point de démarrage post-bac est historiquement le réseau des Instituts Universitaires de Technologie (IUT), département Informatique (voir aussi GEII et R&T). Et puis, il faut choisir la suite, ce qui n'est pas simple, puisque la « computer science » domine, pour rester dans la filière que l'on appelle aujourd'hui « Data Engineering ». Citons les parcours MIAGE, qui ont souvent été la suite naturelle de l'IUT. Le sujet de la cybersécurité, réservée aux meilleurs de l'ingénierie informatique, est lui richement fourni en France, y compris par DSTI School of Engineering.

Le programme Bachelor of Science in Computer Science & Engineering (BSc CSE), et ses poursuites naturelles en Applied MSc in Data Engineering for AI ou Applied MSc in Cyber Security, se positionne dans l'esprit, l'exigence et la qualité de la filière IUT : petites promotions de candidats sélectionnés, programme riche en technologies et savoir-faire, mais aussi en mathématiques et « soft skills ». DSTI apporte sa touche avec l'omniprésence de l'Anglais, un centrage des mathématiques sur les besoins de l'informatique et de l'intelligence artificielle, préparation à des examens externes de certification d'outils et technologie « normes de marché » et son suivi individualisé.

Étant informaticien, Data Engineer, je terminerai ce mot en rappelant au jeune lecteur et à sa famille que rien n'est binaire dans notre monde analogique. Si je continue d'exercer des activités de Data Engineering à DSTI, en enseignement, mais aussi opérationnellement, j'ai aussi connu des moments où trouver une résolution à un problème algorithmique difficile m'ont donné quelques journées ou semaines de véritable challenge intellectuel. Et j'insiste que seule la rigueur scientifique qu'offrent de solides bases en mathématiques permet d'être un bon informaticien. Et comme rien n'est binaire, il n'y a pas de « bonne » ou « mauvaise » façon de devenir informaticien. Puisque tout le monde aura un emploi et une carrière bien remplie, il s'agit simplement de prendre aussi du plaisir dans la manière de s'y former.

Au plaisir de vous voir rejoindre Team DSTI School of Engineering.

Sebastien Corniglion
Directeur Général - DSTI School of Engineering