Le Groupe EDH : du renouveau dans l’air

Publication le 09/02/2015 | MAJ le 12/12/2022
Le Groupe EDH : du renouveau dans l’air

Il y a du renouveau dans l’air pour le groupe EDH, créé par Denis Huisman il y a déjà 54 ans. EDH regroupant près de 2 300 étudiants au sein de trois grandes écoles spécialisées (l’EFAP, l’EFJ et l’ICART) va, en effet, profiter du changement de son équipe de direction pour repenser et faire évoluer son offre de formation.

 

Amin Khiari, nouveau Président du Groupe EDH, a décidé d’opérer un lifting sur l’ensemble des établissements. En effet, pour maintenir leur niveau d’excellence et leur notoriété, M. Khiari trouvait nécessaire d’adapter le contenu, la forme des enseignements ainsi que le fonctionnement des écoles au monde d’aujourd’hui. Ce projet est basé sur 3 axes principaux : l’évolution, la digitalisation et l’internationalisation.

Nouveaux logos, nouvelles signatures, nouveaux cursus, nouveaux partenariats, nouveau campus, nouvelle approche des métiers, nouveau corps professoral… C’est une véritable révolution qui est en marche à l’ICART, l’EFAP et l’EFJ !

 

 

Evolution ou Révolution

Les trois écoles du groupe EDH vont innover voire se réinventer totalement, dans le cas de l’EFJ. En effet, avec l’évolution perpétuelle des métiers du journalisme, l’enseignement traditionnel du métier semble obsolète. Mais il n’est jamais trop tard, et l’Ecole Française de Journalisme prévoit de revoir en intégralité ses méthodes pédagogiques et son fonctionnement. « Tout détruire pour tout reconstruire », c’est la phrase clé par laquelle le président du Groupe a expliqué cette décision. A l’occasion des 10 ans de l’école, c’est donc toute l’organisation et le contenu des cours qui vont être revus. Les idées et projets ne manquent pas.

Tout d’abord, l’école accueillera désormais de plus petites promotions, mais des « promotions surdouées » pour former l’élite du journalisme. Le nouveau directeur a également choisi de ne faire appel qu’à des professionnels (et non plus à des professeurs) pour une formation plus proche du terrain et moins théorique du métier. Autre nouveauté, ces experts devront traiter de deux aspects incontournables du journalisme : la technologie et l’investigation numérique. En choisissant cette approche beaucoup plus en adéquation avec la manière d’opérer des journalistes actuels, l’EFJ fera de ses étudiants des « professionnels des métiers de l'information », des acteurs majeurs du monde journalistique.

 

L’ICART, même si elle continuera de s’appuyer sur les solides bases qu’elle possédait déjà, s’ouvre cette année au monde du luxe. Le luxe faisant désormais partie intégrante de la culture d’un pays, les programmes de l’ICART se doivent de suivre cette évolution et d’intégrer aux cursus des connaissances en la matière.

L’école, très fière d’être la seule à posséder et une approche managériale de la culture et du marché de l’art, a également décidé de mettre en œuvre une stratégie de partenariats destinés à ouvrir d’autant plus l’école au monde professionnel et à la sphère culturelle internationale.

 

L’EFAP, quant à elle, en tant que « mère des écoles de communication françaises », a décidé d’enrichir son offre de formation pour devenir « l’école des nouveaux métiers de la communication ». Comme l’ICART, elle adaptera donc ses cursus selon l’évolution des métiers et optera pour « un corps professionnel, et non professoral ». Ce contact direct qu’auront les étudiants avec les experts tendra à amplifier un ancrage dans le monde professionnel.

Selon les mots d’Amin Khiari, l’EFAP et l’ICART, tout comme l’EFJ, sont des écoles qui désirant former des individus passionnés et engagés, et les sélectionner pour « ce qu’ils sont. »

 

En plus de tous ces changements, le groupe a également actualisé les logos et signatures de deux des établissements, afin de correspondre à la nouvelle nature du profil de ces écoles :

  • « ICART : L’école des métiers de la culture et du commerce de l’art »

  • « EFAP : L’école des nouveaux métiers de la communication »

 

Enfin, la dernière évolution qui interviendra au sein du groupe sera au niveau des partenariats. Hub Institute, GoodPlanet, le Festival de Cannes, le musée d’art moderne de la ville de Paris, l’union des annonceurs, TF1 Fondation : tous ont choisi de soutenir le groupe et permettront aux étudiants d’être associés à de passionnants projets.

 

 

 

Digitalisation

« 3 % des écoles françaises mettent à disposition des étudiants du contenu numérique, contre 90 % des écoles américaines. » Partant du constat que la France est en retard sur ses voisins en la matière, EDH a pris la décision d’intégrer une large part de digitalisation aux enseignements de chacune de ses écoles.

La majorité des formations seront remodelées pour permettre une « hyperprofessionalisation », mais certaines verront également le jour. Ces nouveaux cursus seront tous axés sur l’aspect digital qui envahi désormais toutes les professions. En effet, le numérique prend une place incontournable dans la vie active mondiale, et les formations se doivent de suivre le rythme. Des compétences digitales seront donc intégrées dans les nouveaux MBA spécialisés, avec l’aide du responsable stratégie digitale du groupe : Vincent Montet.

 

Cet accent 2.0 sera particulièrement appuyé à L’EFJ, l’usage du digital dans le journalisme moderne devenant l’outil premier du secteur. Comment trouver des informations sur Internet ? Comment utiliser les supports numériques ? Comment vérifier qu’une information trouvée sur le web est juste ? C’est donc sur la technologie et l’investigation que se penchera le tout nouveau MBA spécialisé Journalisme et médias digitaux de l’EFJ qui destinera ses diplômés à devenir de véritables « professionnels de l’information ».

 

 

 

 

Internationalisation

Tout comme le digital, l’international est au cœur de toutes les entreprises modernes et donc de leurs nouveaux métiers. C’est pourquoi des partenariats sont en discussion, notamment avec des écoles d’Asie et du Moyen-Orient. Il est important pour les étudiants de comprendre comment fonctionnent la communication/ le journalisme/ l’art/ la culture à l’étranger, pas seulement en France.

 

En plus de ces partenariats, le groupe a pris plusieurs mesures pour mettre l’accent sur l’internationalisation de ses cursus :

  • Le campus New Yorkais de l’EFAP va également être consolidé.
  • La 4e année de formation des étudiants sera désormais obligatoirement enseignée en anglais.
  • Sur les 22 mois de stages possible, 6 mois devront obligatoirement être effectués à l’étranger.
  • Des doubles cursus sont en préparation avec des écoles australiennes, américaines et écossaises.

 

EDH compte également fédérer son réseau professionnel. Avec plus de 20 000 anciens étudiants, dont certaines figures emblématiques de l’art et du journalisme, le groupe mise sur le rayonnement de ces professionnels. Que ces derniers travaillent en France ou à l’étranger, ils pourront rejoindre le réseau créé par EDH et, ainsi, permettre d’offrir aux étudiants actuels plus de 3 000 offres de stage et une insertion professionnelle beaucoup plus rapide.

 

 

Pour les étudiants qui désireraient avoir plus d’informations sur les différentes formations proposées par l’EFAP, l’EFJ et l’ICART, sachez que les trois écoles seront présentes au Salon des Meilleurs Masters, MS et MBA, à Paris le 21 mars. N’hésitez pas à consulter la page relative à l’évènement et à vous inscrire pour venir rencontrer le Groupe EDH !